debout, un respir grand comme… images et sons enfin réunis!


Voici l’enregistrement de ma toute dernière pièce, debout, un respir grand comme, mettant en vedette les incroyables musiciens de l’Ensemble contemporain de Montréal (ECM+), dirigé par Véronique Lacroix, que je remercie tout particulièrement pour l’opportunité qu’elle a offerte à mes partitions en terme de dialogue, d’expérimentation et surtout pour sa constante recherche de pistes afin de permettre à ces graphiques de résonner au meilleur de leur potentiel.

Les images du clip correspondent à la partition graphique interprétée par les musiciens, avant son orchestration et son « enchâssement », par transparence, sous des portées et barres de mesures.

L’enregistrement a été réalisé en concert à l’Espace Hypérion, par Mathieu Dumont, diffuseur du concert, que je remercie pour son implication vigoureuse envers nos musiques.

Note de programme

« (…) et le printemps, lui, reviendra toujours, et ses roses et ses fleurs. »
Marie-Hélène Constant

debout, un respir grand comme est une pièce de transition, une chose qui fut intranquille et qui s’est peut-être apaisée en chemin. Elle est douceur et tendresse, même dans la vigueur, le son fort ou aigu. C’est un grand respir en mouvement, un respir après de grands vents contraires, de grandes petites victoires aussi. Un respir avant la suite et le recommencement, autrement.

Program note

« (…) and spring will always return, and its roses and its flowers. »
Marie-Hélène Constant (trans. Symon Henry)

debout, un respir grand comme (standing, a breath as tall as) is a work of transition, something that was restless and perhaps became calmer along the way. It is softness and tenderness, even in its moments of intensity, and loud or high pitched sounds. It is a big, moving breath, a breath after an adverse wind, and also great small triumphs. A breath before moving on and before starting something over, another way.

Publié par Symon Henry

Læ Symon Henry est un animal aquatique nocturne s’ébaubissant au contact des pensées complexes, des réalités fluides et des genres incertains. Ielle se transdisciplinarise principalement de musiques de concert, d’arts visuels et de poésies. Son recueil L’amour des oiseaux moches (2020, Omri) a été finaliste aux Prix littéraires du Gouverneur Général ainsi qu’au Prix Émile-Nelligan et porté sur scène, avec sa musique et ses visuels, par l’Ensemble contemporain de Montréal (ECM+).

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