Vernissage : Voir dans le vent qui hurle les étoiles rire, et rire

Vernissage : 29 septembre, 13 h à 18 h ; en présence de l’artiste et avec la participation de la violoncelliste et médiatrice culturelle Emmanuelle Lizère ; performance de l’artiste vocal Gabriel Dharmoo à 16h30, présenté par l’Ensemble contemporain de Montréal (ECM+).
Le mentir-vrai, 

Performances artistiques en écho à l’exposition
26 octobre 2018, 14 h à 17 h
Avec Nicole Brossard, auteure et essayiste ; Christian Bujold, performeur ;
Mario Côté et Catherine Béliveau, artistes visuels ; Ana Tapia, artiste électroacoustique ; Maude V. Veilleux auteure et performeuse et Rachel Hyppolite, animatrice.

Répétition publique : 3 novembre, 14h à 16h ; Productions SuperMusique.
Concert : 9 novembre, 19h30 ; Productions SuperMusique interprète la partition complète de voir dans le vent qui hurle les étoiles rire, et rire (dir. Danielle P. Roger).
Chapelle Historique du Bon-Pasteur (100, rue Sherbrooke E, Montreal)
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Je dessine le son. Pour qu’il puisse être interprété par des musiciens en concert, mais aussi pour qu’il puisse être entendu par tout un chacun, dans l’intimité de son écoute intérieure. Depuis 2012, en effet, je ne compose que de la sorte, fusain et pastel blanc en main, quelques règles simples en tête : les partitions se lisent de gauche à droite, un trait foncé correspond à un son fort, pâle à un son plus doux ; en haut de page il est aigu, plus bas il est grave ; etc.

Ainsi, mes partitions graphiques ont pu être interprétées par des musicien.nes d’horizons très divers ou encore être appréciées en galerie par des visiteur.es ayant accès, pour une rare fois, à la représentation silencieuse du son sans aucun besoin de formation musicale.

L’exposition « voir dans le vent qui hurle les étoiles rire, et rire » présente donc, pour la toute première fois, les 168 dessins composant la partition graphique – ainsi que les esquisses préliminaires – d’une œuvre éponyme de 40 minutes co-composée avec Yannick Plamondon pour l’ Orchestre symphonique de Québec et la marimbiste Anne-Julie Caron. Cette pièce a été crée pour célébrer l’inauguration du pavillon Lassonde du Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ).

La seconde partie de l’exposition sera consacrée aux partitions que j’ai composées récemment en vue d’un projet que je porte depuis déjà cinq ans : une symphonie avec voix de 50 minutes, basée sur une suite poétique de Roxane Desjardins, et intitulée « je suis calme et enragé, cela s’appelle la précision ». Toutes les œuvres de cette exposition sont d’ailleurs disponibles pour achat afin de financer ce projet central dans ma démarche.

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Publié par Symon Henry

Læ Symon Henry est un animal aquatique nocturne s’ébaubissant au contact des pensées complexes, des réalités fluides et des genres incertains. Ielle se transdisciplinarise principalement de musiques de concert, d’arts visuels et de poésies. Son recueil L’amour des oiseaux moches (2020, Omri) a été finaliste aux Prix littéraires du Gouverneur Général ainsi qu’au Prix Émile-Nelligan et porté sur scène, avec sa musique et ses visuels, par l’Ensemble contemporain de Montréal (ECM+).

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